1. |
Arrête de te Raser !
04:49
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Les lumières trop nombreuses
Dansent au dessus des as
Qui voudraient juste gausser...
Le repas s'américanise
Alors qu'un fameux bubar
Prend souci d'évoluer
Vers quelque tâche rémunérée
Refrain :
Balochon de lumière, garde ta bebar légendaire ! (bis)
La tondeuse à la main,
Dès le petit matin,
Le bubar y met fin
Pour le petit Valentin.
La tâche n'est pas aisée
Et pas si rapide.
Si les lumières s'en mêlent,
Il l'a dans l'escarcelle !
Refrain.
Il enfourche sa bicyclette
Glabre dans le vent frais
En répétant mazette,
Ou sont passés mes poils ?
Il se sent rigolo
Mais qu'il fasse attention !
Il refuse le câlin
Du poussiéreux gamin.
Refrain.
Le voilà qui revient
Tout seul sans bebar
Balochon ce matin
Tu fis de nous des hilares
Car les as pour gausser
Ne sont bien sûr pas les derniers.
Refrain (ad lib)
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2. |
Cyber Ourson
03:20
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Gregory, tu aimes voyager,
tu as fait toutes les contrées et même le Yémen
Grégory, tu aimes bêcher la terre
et même la biner de tes petites mains potelées !!!!
Oh Grégory, Armand Renard ou bien Roger, Cyber Ourson, etc… (bis)
Grégory, toi et ta petite cocotte
vous aimez le bondage
le fouet et la serfouette
Grégory, sous ta petite serre
poussent des petits navets et des petits radis
Oh Grégory, Armand Renard ou bien Roger, Cyber Ourson, etc… (bis)
Grégory, toi et ta petite guimbarde
vous n’aimez pas les limaces noires et blanches
Grégory, tu combats les mouches
des temps anciens
qui viennent avec ta petite tapette
SOLO !!!!!!
Oh Grégory, Armand Renard ou bien Roger, Cyber Ourson, etc… (bis)
Oh Grégory, Armand Renard ou bien Roger, Cyber Ourson, etc… (bis)
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3. |
La Chasse au Dragon
04:23
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A la grande procession
De la sainte Aloïs
Tes guibolles en sudation
S'enfonçaient avec malice
Au milieu de toutes ces filles
Possédées par le démon
Parvint à tes esgourdilles
La nouvelle de la Passion
Anola Anola ah
Tu ne te méfiais pas (bis)
Anola Anola ah
Et la tonsure communia
Pour porter la coule
Les moines exigèrent un cœur pur
Tu t'éloignas de la foule
Et fixas le royaume et ses murs
Anola Anola ah
Tu ne te méfiais pas (bis)
Anola Anola ah
et la tonsure communia (communia)
Après moult échauffourées
Les Bâtisseurs t'ont bien berné (bien berné)
Te voilà à la Citadelle de bon matin
Bien attrapé, et pis c'est tout à la fin ! (bien attrapé et pis c'est tout)
Te voilà aux prises avec un mage
Qui te brûla la moitié des sourcils
Ce qui permit (ce qui permit)
Aux Bâtisseurs (au Bâtisseurs)
Le gaussage. (gaussage)
SOLO !!!!!!
Anola Anola ah
Tu ne te méfiais pas (bis)
Anola Anola ah
Et la tonsure communia
Évadé, tu fuis en campagne
Te voilà recueilli dès à présent
Tu reprends vigueur, et la joie te gagne
Tu retournes au monastère où la tonsure t'attend (Anola)
On entend au loin le courroux, le courroux d'un dragon
(courroux de chez courroux au bout d'un moment)
Les moines sont effrayés, bigre ! (bigre)
Et d'autres périront :
Toi seul, Anola, pourra l'écraser ! (Anola ah)
Anola, Anola ah
Tu ne te méfiais pas (bis)
Anola Anola ah
Et la tonsure communia (Ad lib...)
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4. |
FleurCore (avec Blousse)
01:57
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Derrière ta tour
Sombre et délavée
Pour toujours
Tu sembles rouillé
La terre est terne et le ciel morne
Tu es en berne tu te renfrognes
Le jour s'éteint
Comme cette dernière cigarette..
Tu devais attendre ta princesse mais cette conne s'est paumée en route
Elle n'a pas pris son GPS ni même de quoi casser la croute
Et tandis qu'elle noie sa détresse dans une taverne du bout du monde
Toi t'essaies de planquer tes fesses
Que le gardien trouve fermes et rondes
Elle danse parmi les papillons
Et toi tu chasses le renard que tu noies dans de noires potions
Mais ils se font de plus en plus rares
Un chasseur de dragons
Qui avait trébuché sur elle
La guida jusqu'à ton donjon
Il était docteur en pucelles
Tu les vis arriver enfin
Mais tu n'étais pas apprêté
T'avais encore ta kike en mains
En même temps c'est long 10 années (comme ta kike)
C'est moins une princesse qu'une Blousse
Qui planche chaque jour sur ton joystick
On sait y faire dans la cambrousse
Pour rendre à ton armure son chic
Aujourd'hui bourgeonne Fleur Bleue,
Fleurit même sous la blousse désormais
Comme tout heureux
Toutes les bulles sont à tes trousses
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5. |
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En tergiversation devant la porte, j'attends.
(Elle a de l'anecdote)
À son ouverture, de délicates vapeurs de sable humide atteignent mes naseaux ; elle est là, flottant dans son peignoir.
(Et c'est sa vraie marotte)
Je trébuche déjà sur une première bouteille gisant inanimée sur le sol.
Oh la la, fais-je !
(Oh la la, oh la la)
Un bourru, un rustique, un mec à l'ancienne, en somme, s'accroche à sa souris pour ne point choir, le long supinateur rendu malingre par des mois de chasteté, les yeux au loin, procrastinant à qui mieux mieux.
(C'est la Reine des Cocottes, son popotin gigote)
J'aperçois le pageot, convoité jadis par Mowgli.
(C'est la Reine des Cocottes, son popotin gigote)
Mes rêveries fugaces s'interrompent par une voix, par cette voix, m'indiquant la voie d'une voie émoussée. "C'est mon copain", précise t-elle en pointant le troglodyte.
Je prends souci de la présence de Robbigre : échec. La foule a pourtant répondu à son invitation, remarque-je en entrant au salon.
(Elle a de l'anecdote.)
La Reine des Cocottes s'est affairée à la potée. Elle nous reprécise que son copain s'emploie à rassembler de la force dans ses guibolles mollassonnes.
(Et c'est une vraie marotte)
Elle lance au débotté qu'une fois le graillon terminé, ils partiront se coucher.
(C'est la Reine des Cocottes.)
Les débats vont bon train, mais grâce à notre majestueuse hôte intérimaire, la gaussance est de mise.
(Son popotin gigote. C'est la Reine des Cocottes, son popotin gigote....)
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6. |
Le peuple des bulles
04:10
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Personne, non vraiment personne
Dans ce brouillard
Ne me prête un sourire
Les journées se ressemblent
Et se suivent inlassablement
L'ennui me bascule dans une réalité blême
Je suis seul (bis)
Refrain
L'ennui, l'ennui a aujourd'hui disparu
Les gens prennent souci de moi
Je suis entouré
Dans la lumière, un ours majestueux et roux
Brasse des carottes bleues
Pour un chevalier tonsuré
Qui cocotte comme un impétueux
Bel enfant !
De nouvelles couleurs apparaissent
Des sentiments fusent !
Un sourire communie sur tous les visages
Les chasseurs traquent la gaussance, heureux,
Et bernent le triste qui
A jamais s'hilarise !
Refrain.
L'ennui a aujourd'hui disparu
Les gens prennent souci de moi
Je suis entouré
Merci, merci d'exister.
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7. |
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Gibolon : On sera bientôt au complet, prépare de quoi nous reborer
Gibolon : Fait-on des nouilles ? n’oublies surtout pas de saler
Carotte : Du sel ? Mais non l’ébullition a déjà mucho commencé !
Gibolon : Si tu n’en prend cure, elle en sera chafouinée.
Carotte : Je ne peux m’y résoudre, cela reviendrait à gaspiller
Gibolon : Mais que vois je, les spaghettis sont tranchés
Carotte : Dans la casserole, elles n’y pouvaient loger
Gibolon : Les dieux m’en sont témoins, sévère tu vas manger
Carotte : fi de ses détails, elle sera régalée
Gibolon : Bonjour bonjourno, ta semaine était-elle mucho ?
Carotte : Olala bien, une semaine à parler du sud, c’est bueno
Choeurs :
Mucho bueno
Palabra si también te quero
Esta à qui mussolini
Ha tagliato la pasta
Carotte : alors vous fûtes chez docteur pucelle ?
Gibolon : j’étais tout coude, nous y fûmes, mais lui non
Carotte : occupé à chasser, je n’ai pu me joindre à l’occasion
Gibolon: la batterie reggamufin rebore t-elle l’escarcelle ?
Carotte : petit à petit roultibalde se rendra compte que non
Carotte : que de se style il n’en est pas question !
Gibolon : Déçu de la nouvelle elle sera
Gibolon : Tu vas de toute façon dans le jura
Gibolon : Au canyoning tu te rattraperas
Carotte : N’es tu pas coi ? /
Carotte : se casser la binette les ours n’ont pas eu choix /
Carotte : la dernière fois !
Gibolon : Mais rien de mieux que cet air montagnard
Gibolon : Fromage tu auras, ne fait point le pleurnichard
Gibolon : Et gare à ta coupe gaillard.
en choeurs :
Les p’tits rats t’ont amenée jusqu’au couronnement,
Et ce à travers moult continents,
Où tes croquignoles amis on pu voir ton talent,
Et ce à travers moult continents.
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8. |
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(Detroit,
Michigan
ville de béton,
de crimes
et de viols divers
Usine,
Fourmilière,
Qui s’agite,
Peinture,
Diablerie
en cacophonie,
Les chaînes s’activent
Elle sors du cocon
Découvrir la vie)
Voilà bien des lunes que j’avance et m’agite
Au gré des suppliques
De mon amie.
En bienheureuse je supporte ses fardeaux
Sans le moindre mot
Ebaubie.
Le temps passe, se dégrade, passe et s’enfuit vers ces profonds abîmes.
Je suis seule.
La pluie m’abime (Seule), je grince sous cet incessant martèlement.
Je t’ai vue partir (Délaissée), avec les autres, me laissant à l’arrière.
Seule. (Seule)
Seule.
Il ne te suffisait plus de partir avec d’autres au travail (Abandonnée) ; désormais, même en vacances, tu me délaisses. (Délaissée)
Le temps passe, et je grince. (Je grince dans ses abîmes)
Grince de te voir m’abandonner ainsi. (Abandonnée)
Par dépit je m’abandonne à l’usure.
Tu es allée jusqu’à envoyer des sbires me chercher (Seule): une roue de secours et un tocard. (Délaissée)
Je ne portais plus rien : tu ne me conduis même plus.
Je ne te sers qu’en hâte, (J'ai chu dans ses abîmes) cette tour a repris ton fardeau. (Seule)
(Pour qui te prends tu, fichu véhicule ?!
Ton allégeance au peuple des bulles
S’impose.
Tu es tout de même bien bichonnée !
Toi seule occupe des places privilégiées !
Gausse !!! )
Vous ne savez pas ce qu’est ma vie ! J’alterne entre bitume et gravier, dormant dehors, au froid.
La nuit, des volatiles me chient sur le casque ; et le jour, je colle le cul des chalans.
Depuis peu, s’invite une andouille au vocable endormi dont même vos semblables semblent se moquer.
Et je n’ose caler quand la faim s’empare de celle que vous appelez Hermine.
Dans quelle folie suis-je tombée ? Mon amie ne m'a jamais laissée...
J’étais triste, vous m’avez bernée : à jamais je m’hilarise.
Que nenni de mes angoisses, je fus par trop ingrate.
Sous ses appétits chronophages, j’ai perdu de vue son altruisme,
Son insatiable empathie avec le vivant…
Oui… Insatiable…
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9. |
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A travers l’étendue infinie du royaume des puérils
cette contrée défendue par celle qui trône d’une manière habile
se trouvent quatre serviteurs prônant la puissance de l’infantile
en combattant le sombre astre de la colère inutile
L’as de trèfle surprend par l’ardeur de sa puérilité
l’as de cœur répand l’honneur de l’amour
l’as de carreau déversant les lueurs de la patience
l’as de pique défend la douceur de l’excès
L’as de trèfle surprend par l’ardeur de sa puérilité
l’as de cœur répand l’honneur de l’amour
l’as de carreau déversant les lueurs de la patience
l’as de pique défend la douceur de l’excès
Mais rien ni personne n’égale la véritable baronne,
la reine Puérilissime, la grande et infantile Epingle
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10. |
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Simone, hormone en silo
(Oh yo yo yo), que tu aimes l’eau
Simone au blanc fessier
(Oh yo yo), que tu aimes cravacher
Ta bonté et ton affection
(Oh yo yo), nous inspirent d’être bon
Quand tu arrives aux répétitions
Les frites sont froides ; courroux contre l’Ourson
Si bonnes sont tes sucreries
Quand on en mange trop, on vomit (et je peux en dire quelque chose)
En Reine, tu gouvernes avec majesté
Mais avec des puérils, c’est compliqué ! (c’est compliqué)
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11. |
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DJW, tu brasses le gaussage avec ton accent gaussant, cassant tous les stéréotypes sur les chinois, pas d'chichis, pour les DJW, t'es troublé. Comme ma soeur, qui est masseur et brasseur, et qui trouve les DJW très sympas, tout aussi sympas que Davidson Johnson Williamson. DJW, spéciale dédicace !
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12. |
Le Diable a ta Marotte
02:25
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Furonquele Furonquele Furonquele Aneimai (bis)
Le diable a ta marotte !!!
Sors de chez toi,
Cours chez Zara !
Ils font une promotion
Sur de douces petites bottes de plomb.
Y a des saucisses
Derrière ta cape
Comme de la bière
Qui s’échappe.
Mais c’est ta marotte
D’être le suppôt de Shana
Maître du jeu
Bourses bien en main
Furonquele Furonquele Furonquele Aneimai (bis)
Le diable a ta marotte !!!
En bottes cloutées, cape attachée
Rebore nous de tes exaltants mets !!!
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13. |
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Intrépide et exceptionnel
Il dévale la montagne
Bravant la neige comme le gel
Il cravache, il faut qu’il se magne
Les khornistes en veulent à son âme
Caderouselle soulève ses bras
Il en sort des jets de flamme
Les ennemis passent de vie à trépas
Refrain :
Caderouselle,
flamboyante sont ses aisselles
Né sous le signe de la bête
Rêve de massacre en chansonnette
Au bout d'un moment, il atteint une jungle torride
Il se paume et sude à grosse goutte
Il appelle mère pour qu’elle le guide
Sous ses milles propositions il se voute
Enfin, au loin il aperçoit une lueur
A bout de force et éternuant
Il approche d'une rupestre demeure
D’où irrupte Mowgli déménageant
Refrain :
Caderouselle,
flamboyante sont ses aisselles
Né sous le signe de la bête
Rêve de massacre en chansonnette
L'aidant en véritable galéjade
Le noble gaillard fait son fier à bras
En partant il achète pour une enfilade
Une clio, mais pas française, surtout pas
Il file à toute berzingue vers le Portugal
Quel drame sa clio tombe en panne
Il achète un vélo et poursuit non sans mal
Dans un labyrinthe de berne sans fil d’ariane
Refrain :
Caderouselle,
flamboyante sont ses aisselles
Né sous le signe de la bête
Rêve de massacre en chansonnette
Il en sort tout en coudes et truculant
Les flammes de ses aisselles crépitent
Le peuple des bulles plein de lumière, l’attend
Il partage avec lui le comté et lui offre le gite
Caderouselle est apaisé
Il se repose et savoure
Le plaisir des amis retrouvés
Tous fêtent son retour
Refrain :
Caderouselle,
flamboyante sont ses aisselles
Né sous le signe de la bête
Rêve de massacre en chansonnette
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14. |
La Gibolle
02:52
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La gibolle, la gibolle, la gibolle la gibolle !
Un casque, ton armure, sur scène tu mets le feu
ton casque, ton armure, l’hilarité tu provoques
la gibolle la gibolle
la gibolle la gibolle la gibolle
Joyeux bonhomme flirtant avec sa bonhomie garnement chenapant
ahahaha gibolle
Gibolle des temps anciens
pouvoir gaussant, pouvoir gaussant, la gibolle
La gibolle, la gibolle, la gibolle la gibolle……
C’est par bouffonnerie
ah ! la gibolle
toi, ton sourire
ta joie
nous envahit chaque jour la gibolle
merci la gibolle
merci
la gibolle, la gibolle
dansant avec ta bonhomie
la gibolle x3
sourire au lèvre hilarité général
ton accession à la noblesse
est un parcours semé de bouffonnerie
la giobolle la gibolle
tu te trimbales, tu te trimbales, tes rouflaquettes dépassant de ton heaume
tes rouflaquettes, tes rouflaquettes dépassant de ton baume de ton armure
chevaliers des temps anciens
la gibolle la gibolle………
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15. |
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Tout engoncé et tout timide
La carotte dans le vide
Tu trembles, face à l'ennui
La super gaussance t'emplit
Super Carotte, fais nous super gausser !
Des bulles plein la caboche
Main dans la main avec Baloche
C'est la puissance du tubercule
Qui te transfigure de bulles
Super Carotte, fais nous super gausser !
Sous les regards ébahis
Des autres puérils
Ta peau se colore d'orange
Tes poils en vert se changent
Toute la classe, impatiente,
Attend la carotte hilarante
Qui cligne des paupières
Et fait gausser la terre entière
Super Carotte, fais nous super gausser !
Tes exploits capillaires (et la tonsure communia)
Sont chantés sur tous les airs
Tes sobriquets légendaires (la Gibolle, la Gibolle, la Gibolle)
Nous on rendus tellement fiers
Super Carotte, fais nous super gausser !
Maître du mot, et de tous les autres
Tu maîtrises en plus du mucus
Le mot de la gaussance sublime
Ludovic Bruot
Super Carotte, fais nous super gausser !
Encore une mission réussie pour Super Carotte ! Elle est vraiment trop belle cette carotte, elle donne envie d’être mangée ! Merci, Super Carotte.
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16. |
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N'ayant cure des tonsures
Son prétendant est tout en joie
Face à cette rougeoyante chevelure
Qui dans le mistral ondoie
Le débat tu aimes ça
Tu te badines la doctrine
De Crom tu es toute gaga
Supportant la sentante Bianca
Tu aimes visiblement les bestioles
Et les oursons tu leur en mets plein leur fiole
Le débat tu aimes ça
Tu te badines la doctrine
Grâce à sa kike démesurée
Ton Robbigre se rattrape
De quand il jacte sur les pensées
Qui aujourd'hui le frappent
Le débat tu aimes ça
Tu te badines la doctrine
Tu te badines la doctrine
Kike
Patate (x4)
Mais on s'en tamponne au fond
Sans aucun jeu de mot fripon
Ce qui compte c'est les bisous
Dans une chambre sens dessus dessous
Dans les prairies de notre enfance
Tu as bien de la patience
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