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Des bulles. Des marottes. Et c'est bien !

by Les chasseurs

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1.
Les lumières trop nombreuses Dansent au dessus des as Qui voudraient juste gausser... Le repas s'américanise Alors qu'un fameux bubar Prend souci d'évoluer Vers quelque tâche rémunérée Refrain : Balochon de lumière, garde ta bebar légendaire ! (bis) La tondeuse à la main, Dès le petit matin, Le bubar y met fin Pour le petit Valentin. La tâche n'est pas aisée Et pas si rapide. Si les lumières s'en mêlent, Il l'a dans l'escarcelle ! Refrain. Il enfourche sa bicyclette Glabre dans le vent frais En répétant mazette, Ou sont passés mes poils ? Il se sent rigolo Mais qu'il fasse attention ! Il refuse le câlin Du poussiéreux gamin. Refrain. Le voilà qui revient Tout seul sans bebar Balochon ce matin Tu fis de nous des hilares Car les as pour gausser Ne sont bien sûr pas les derniers. Refrain (ad lib)
2.
Cyber Ourson 03:20
Gregory, tu aimes voyager, tu as fait toutes les contrées et même le Yémen Grégory, tu aimes bêcher la terre et même la biner de tes petites mains potelées !!!! Oh Grégory, Armand Renard ou bien Roger, Cyber Ourson, etc… (bis) Grégory, toi et ta petite cocotte vous aimez le bondage le fouet et la serfouette Grégory, sous ta petite serre poussent des petits navets et des petits radis Oh Grégory, Armand Renard ou bien Roger, Cyber Ourson, etc… (bis) Grégory, toi et ta petite guimbarde vous n’aimez pas les limaces noires et blanches Grégory, tu combats les mouches des temps anciens qui viennent avec ta petite tapette SOLO !!!!!! Oh Grégory, Armand Renard ou bien Roger, Cyber Ourson, etc… (bis) Oh Grégory, Armand Renard ou bien Roger, Cyber Ourson, etc… (bis)
3.
A la grande procession De la sainte Aloïs Tes guibolles en sudation S'enfonçaient avec malice Au milieu de toutes ces filles Possédées par le démon Parvint à tes esgourdilles La nouvelle de la Passion Anola Anola ah Tu ne te méfiais pas (bis) Anola Anola ah Et la tonsure communia Pour porter la coule Les moines exigèrent un cœur pur Tu t'éloignas de la foule Et fixas le royaume et ses murs Anola Anola ah Tu ne te méfiais pas (bis) Anola Anola ah et la tonsure communia (communia) Après moult échauffourées Les Bâtisseurs t'ont bien berné (bien berné) Te voilà à la Citadelle de bon matin Bien attrapé, et pis c'est tout à la fin ! (bien attrapé et pis c'est tout) Te voilà aux prises avec un mage Qui te brûla la moitié des sourcils Ce qui permit (ce qui permit) Aux Bâtisseurs (au Bâtisseurs) Le gaussage. (gaussage) SOLO !!!!!! Anola Anola ah Tu ne te méfiais pas (bis) Anola Anola ah Et la tonsure communia Évadé, tu fuis en campagne Te voilà recueilli dès à présent Tu reprends vigueur, et la joie te gagne Tu retournes au monastère où la tonsure t'attend (Anola) On entend au loin le courroux, le courroux d'un dragon (courroux de chez courroux au bout d'un moment) Les moines sont effrayés, bigre ! (bigre) Et d'autres périront : Toi seul, Anola, pourra l'écraser ! (Anola ah) Anola, Anola ah Tu ne te méfiais pas (bis) Anola Anola ah Et la tonsure communia (Ad lib...)
4.
Derrière ta tour Sombre et délavée Pour toujours Tu sembles rouillé La terre est terne et le ciel morne Tu es en berne tu te renfrognes Le jour s'éteint Comme cette dernière cigarette.. Tu devais attendre ta princesse mais cette conne s'est paumée en route Elle n'a pas pris son GPS ni même de quoi casser la croute Et tandis qu'elle noie sa détresse dans une taverne du bout du monde Toi t'essaies de planquer tes fesses Que le gardien trouve fermes et rondes Elle danse parmi les papillons Et toi tu chasses le renard que tu noies dans de noires potions Mais ils se font de plus en plus rares Un chasseur de dragons Qui avait trébuché sur elle La guida jusqu'à ton donjon Il était docteur en pucelles Tu les vis arriver enfin Mais tu n'étais pas apprêté T'avais encore ta kike en mains En même temps c'est long 10 années (comme ta kike) C'est moins une princesse qu'une Blousse Qui planche chaque jour sur ton joystick On sait y faire dans la cambrousse Pour rendre à ton armure son chic Aujourd'hui bourgeonne Fleur Bleue, Fleurit même sous la blousse désormais Comme tout heureux Toutes les bulles sont à tes trousses
5.
En tergiversation devant la porte, j'attends. (Elle a de l'anecdote) À son ouverture, de délicates vapeurs de sable humide atteignent mes naseaux ; elle est là, flottant dans son peignoir. (Et c'est sa vraie marotte) Je trébuche déjà sur une première bouteille gisant inanimée sur le sol. Oh la la, fais-je ! (Oh la la, oh la la) Un bourru, un rustique, un mec à l'ancienne, en somme, s'accroche à sa souris pour ne point choir, le long supinateur rendu malingre par des mois de chasteté, les yeux au loin, procrastinant à qui mieux mieux. (C'est la Reine des Cocottes, son popotin gigote) J'aperçois le pageot, convoité jadis par Mowgli. (C'est la Reine des Cocottes, son popotin gigote) Mes rêveries fugaces s'interrompent par une voix, par cette voix, m'indiquant la voie d'une voie émoussée. "C'est mon copain", précise t-elle en pointant le troglodyte. Je prends souci de la présence de Robbigre : échec. La foule a pourtant répondu à son invitation, remarque-je en entrant au salon. (Elle a de l'anecdote.) La Reine des Cocottes s'est affairée à la potée. Elle nous reprécise que son copain s'emploie à rassembler de la force dans ses guibolles mollassonnes. (Et c'est une vraie marotte) Elle lance au débotté qu'une fois le graillon terminé, ils partiront se coucher. (C'est la Reine des Cocottes.) Les débats vont bon train, mais grâce à notre majestueuse hôte intérimaire, la gaussance est de mise. (Son popotin gigote. C'est la Reine des Cocottes, son popotin gigote....)
6.
Personne, non vraiment personne Dans ce brouillard Ne me prête un sourire Les journées se ressemblent Et se suivent inlassablement L'ennui me bascule dans une réalité blême Je suis seul (bis) Refrain L'ennui, l'ennui a aujourd'hui disparu Les gens prennent souci de moi Je suis entouré Dans la lumière, un ours majestueux et roux Brasse des carottes bleues Pour un chevalier tonsuré Qui cocotte comme un impétueux Bel enfant ! De nouvelles couleurs apparaissent Des sentiments fusent ! Un sourire communie sur tous les visages Les chasseurs traquent la gaussance, heureux, Et bernent le triste qui A jamais s'hilarise ! Refrain. L'ennui a aujourd'hui disparu Les gens prennent souci de moi Je suis entouré Merci, merci d'exister.
7.
Gibolon : On sera bientôt au complet, prépare de quoi nous reborer Gibolon : Fait-on des nouilles ? n’oublies surtout pas de saler Carotte : Du sel ? Mais non l’ébullition a déjà mucho commencé ! Gibolon : Si tu n’en prend cure, elle en sera chafouinée. Carotte : Je ne peux m’y résoudre, cela reviendrait à gaspiller Gibolon : Mais que vois je, les spaghettis sont tranchés Carotte : Dans la casserole, elles n’y pouvaient loger Gibolon : Les dieux m’en sont témoins, sévère tu vas manger Carotte : fi de ses détails, elle sera régalée Gibolon : Bonjour bonjourno, ta semaine était-elle mucho ? Carotte : Olala bien, une semaine à parler du sud, c’est bueno Choeurs : Mucho bueno Palabra si también te quero Esta à qui mussolini Ha tagliato la pasta Carotte : alors vous fûtes chez docteur pucelle ? Gibolon : j’étais tout coude, nous y fûmes, mais lui non Carotte : occupé à chasser, je n’ai pu me joindre à l’occasion Gibolon: la batterie reggamufin rebore t-elle l’escarcelle ? Carotte : petit à petit roultibalde se rendra compte que non Carotte : que de se style il n’en est pas question ! Gibolon : Déçu de la nouvelle elle sera Gibolon : Tu vas de toute façon dans le jura Gibolon : Au canyoning tu te rattraperas Carotte : N’es tu pas coi ? / Carotte : se casser la binette les ours n’ont pas eu choix / Carotte : la dernière fois ! Gibolon : Mais rien de mieux que cet air montagnard Gibolon : Fromage tu auras, ne fait point le pleurnichard Gibolon : Et gare à ta coupe gaillard. en choeurs : Les p’tits rats t’ont amenée jusqu’au couronnement, Et ce à travers moult continents, Où tes croquignoles amis on pu voir ton talent, Et ce à travers moult continents.
8.
(Detroit, Michigan ville de béton, de crimes et de viols divers Usine, Fourmilière, Qui s’agite, Peinture, Diablerie en cacophonie, Les chaînes s’activent Elle sors du cocon Découvrir la vie) Voilà bien des lunes que j’avance et m’agite Au gré des suppliques De mon amie. En bienheureuse je supporte ses fardeaux Sans le moindre mot Ebaubie. Le temps passe, se dégrade, passe et s’enfuit vers ces profonds abîmes. Je suis seule. La pluie m’abime (Seule), je grince sous cet incessant martèlement. Je t’ai vue partir (Délaissée), avec les autres, me laissant à l’arrière. Seule. (Seule) Seule. Il ne te suffisait plus de partir avec d’autres au travail (Abandonnée) ; désormais, même en vacances, tu me délaisses. (Délaissée) Le temps passe, et je grince. (Je grince dans ses abîmes) Grince de te voir m’abandonner ainsi. (Abandonnée) Par dépit je m’abandonne à l’usure. Tu es allée jusqu’à envoyer des sbires me chercher (Seule): une roue de secours et un tocard. (Délaissée) Je ne portais plus rien : tu ne me conduis même plus. Je ne te sers qu’en hâte, (J'ai chu dans ses abîmes) cette tour a repris ton fardeau. (Seule) (Pour qui te prends tu, fichu véhicule ?! Ton allégeance au peuple des bulles S’impose. Tu es tout de même bien bichonnée ! Toi seule occupe des places privilégiées ! Gausse !!! ) Vous ne savez pas ce qu’est ma vie ! J’alterne entre bitume et gravier, dormant dehors, au froid. La nuit, des volatiles me chient sur le casque ; et le jour, je colle le cul des chalans. Depuis peu, s’invite une andouille au vocable endormi dont même vos semblables semblent se moquer. Et je n’ose caler quand la faim s’empare de celle que vous appelez Hermine. Dans quelle folie suis-je tombée ? Mon amie ne m'a jamais laissée... J’étais triste, vous m’avez bernée : à jamais je m’hilarise. Que nenni de mes angoisses, je fus par trop ingrate. Sous ses appétits chronophages, j’ai perdu de vue son altruisme, Son insatiable empathie avec le vivant… Oui… Insatiable…
9.
A travers l’étendue infinie du royaume des puérils cette contrée défendue par celle qui trône d’une manière habile se trouvent quatre serviteurs prônant la puissance de l’infantile en combattant le sombre astre de la colère inutile L’as de trèfle surprend par l’ardeur de sa puérilité l’as de cœur répand l’honneur de l’amour l’as de carreau déversant les lueurs de la patience l’as de pique défend la douceur de l’excès L’as de trèfle surprend par l’ardeur de sa puérilité l’as de cœur répand l’honneur de l’amour l’as de carreau déversant les lueurs de la patience l’as de pique défend la douceur de l’excès Mais rien ni personne n’égale la véritable baronne, la reine Puérilissime, la grande et infantile Epingle
10.
Simone, hormone en silo (Oh yo yo yo), que tu aimes l’eau Simone au blanc fessier (Oh yo yo), que tu aimes cravacher Ta bonté et ton affection (Oh yo yo), nous inspirent d’être bon Quand tu arrives aux répétitions Les frites sont froides ; courroux contre l’Ourson Si bonnes sont tes sucreries Quand on en mange trop, on vomit (et je peux en dire quelque chose) En Reine, tu gouvernes avec majesté Mais avec des puérils, c’est compliqué ! (c’est compliqué)
11.
DJW, tu brasses le gaussage avec ton accent gaussant, cassant tous les stéréotypes sur les chinois, pas d'chichis, pour les DJW, t'es troublé. Comme ma soeur, qui est masseur et brasseur, et qui trouve les DJW très sympas, tout aussi sympas que Davidson Johnson Williamson. DJW, spéciale dédicace !
12.
Furonquele Furonquele Furonquele Aneimai (bis) Le diable a ta marotte !!! Sors de chez toi, Cours chez Zara ! Ils font une promotion Sur de douces petites bottes de plomb. Y a des saucisses Derrière ta cape Comme de la bière Qui s’échappe. Mais c’est ta marotte D’être le suppôt de Shana Maître du jeu Bourses bien en main Furonquele Furonquele Furonquele Aneimai (bis) Le diable a ta marotte !!! En bottes cloutées, cape attachée Rebore nous de tes exaltants mets !!!
13.
Intrépide et exceptionnel Il dévale la montagne Bravant la neige comme le gel Il cravache, il faut qu’il se magne Les khornistes en veulent à son âme Caderouselle soulève ses bras Il en sort des jets de flamme Les ennemis passent de vie à trépas Refrain : Caderouselle, flamboyante sont ses aisselles Né sous le signe de la bête Rêve de massacre en chansonnette Au bout d'un moment, il atteint une jungle torride Il se paume et sude à grosse goutte Il appelle mère pour qu’elle le guide Sous ses milles propositions il se voute Enfin, au loin il aperçoit une lueur A bout de force et éternuant Il approche d'une rupestre demeure D’où irrupte Mowgli déménageant Refrain : Caderouselle, flamboyante sont ses aisselles Né sous le signe de la bête Rêve de massacre en chansonnette L'aidant en véritable galéjade Le noble gaillard fait son fier à bras En partant il achète pour une enfilade Une clio, mais pas française, surtout pas Il file à toute berzingue vers le Portugal Quel drame sa clio tombe en panne Il achète un vélo et poursuit non sans mal Dans un labyrinthe de berne sans fil d’ariane Refrain : Caderouselle, flamboyante sont ses aisselles Né sous le signe de la bête Rêve de massacre en chansonnette Il en sort tout en coudes et truculant Les flammes de ses aisselles crépitent Le peuple des bulles plein de lumière, l’attend Il partage avec lui le comté et lui offre le gite Caderouselle est apaisé Il se repose et savoure Le plaisir des amis retrouvés Tous fêtent son retour Refrain : Caderouselle, flamboyante sont ses aisselles Né sous le signe de la bête Rêve de massacre en chansonnette
14.
La Gibolle 02:52
La gibolle, la gibolle, la gibolle la gibolle ! Un casque, ton armure, sur scène tu mets le feu ton casque, ton armure, l’hilarité tu provoques la gibolle la gibolle la gibolle la gibolle la gibolle Joyeux bonhomme flirtant avec sa bonhomie garnement chenapant ahahaha gibolle Gibolle des temps anciens pouvoir gaussant, pouvoir gaussant, la gibolle La gibolle, la gibolle, la gibolle la gibolle…… C’est par bouffonnerie ah ! la gibolle toi, ton sourire ta joie nous envahit chaque jour la gibolle merci la gibolle merci la gibolle, la gibolle dansant avec ta bonhomie la gibolle x3 sourire au lèvre hilarité général ton accession à la noblesse est un parcours semé de bouffonnerie la giobolle la gibolle tu te trimbales, tu te trimbales, tes rouflaquettes dépassant de ton heaume tes rouflaquettes, tes rouflaquettes dépassant de ton baume de ton armure chevaliers des temps anciens la gibolle la gibolle………
15.
Tout engoncé et tout timide La carotte dans le vide Tu trembles, face à l'ennui La super gaussance t'emplit Super Carotte, fais nous super gausser ! Des bulles plein la caboche Main dans la main avec Baloche C'est la puissance du tubercule Qui te transfigure de bulles Super Carotte, fais nous super gausser ! Sous les regards ébahis Des autres puérils Ta peau se colore d'orange Tes poils en vert se changent Toute la classe, impatiente, Attend la carotte hilarante Qui cligne des paupières Et fait gausser la terre entière Super Carotte, fais nous super gausser ! Tes exploits capillaires (et la tonsure communia) Sont chantés sur tous les airs Tes sobriquets légendaires (la Gibolle, la Gibolle, la Gibolle) Nous on rendus tellement fiers Super Carotte, fais nous super gausser ! Maître du mot, et de tous les autres Tu maîtrises en plus du mucus Le mot de la gaussance sublime Ludovic Bruot Super Carotte, fais nous super gausser ! Encore une mission réussie pour Super Carotte ! Elle est vraiment trop belle cette carotte, elle donne envie d’être mangée ! Merci, Super Carotte.
16.
N'ayant cure des tonsures Son prétendant est tout en joie Face à cette rougeoyante chevelure Qui dans le mistral ondoie Le débat tu aimes ça Tu te badines la doctrine De Crom tu es toute gaga Supportant la sentante Bianca Tu aimes visiblement les bestioles Et les oursons tu leur en mets plein leur fiole Le débat tu aimes ça Tu te badines la doctrine Grâce à sa kike démesurée Ton Robbigre se rattrape De quand il jacte sur les pensées Qui aujourd'hui le frappent Le débat tu aimes ça Tu te badines la doctrine Tu te badines la doctrine Kike Patate (x4) Mais on s'en tamponne au fond Sans aucun jeu de mot fripon Ce qui compte c'est les bisous Dans une chambre sens dessus dessous Dans les prairies de notre enfance Tu as bien de la patience

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released November 28, 2013

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Les chasseurs Besançon, France

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